L’approche humaine dans le coaching du TDC
Le souhait de ces coopératives est de vendre un maximum de cacao produit par leurs membres, à des conditions aussi favorables que possible. Tout sauf évident.
Le souhait de ces coopératives est de vendre un maximum de cacao produit par leurs membres, à des conditions aussi favorables que possible. Tout sauf évident.
Le processus de production de la fève de cacao à la tablette de chocolat comporte, la plupart du temps, de nombreuses étapes intermédiaires impliquant quelques grandes sociétés. Cependant, à l’heure actuelle, de plus en plus de chocolatiers du monde entier veulent prendre en charge eux-mêmes l’ensemble du processus.
Trois Belges ouvriront sous peu une chocolaterie aux abords du parc national des Virunga, le plus grand parc naturel d’Afrique. Conservateur de ce domaine reconnu par l’UNESCO, le Prince belge Emmanuel de Merode est l’un des trois investisseurs, conjointement avec le chocolatier belge Dominique Persoone et Dimitri Moreels, propriétaire et directeur de la compagnie d’exportation de cacao Copak.
De nombreuses coopératives et petites entreprises des pays partenaires de la coopération belge au développement actives dans le commerce équitable ou durable ont reçu ces dernières années un soutien du TDC sous la forme d’un soutien financier ou d’un coaching en marketing ou en gestion d’entreprise ou une combinaison des deux. L’objectif est toujours d’augmenter les opportunités de marché des petits producteurs. Certaines de ces coopératives ont noué des relations commerciales avec des entreprises actives en Belgique.
Cette publication donne une vue d’ensemble des résultats obtenus par le TDC entre 2014 et 2017.
Un projet pilote appuyé par le Trade for Development Centre permet à la Coopara de centraliser la fermentation et le contrôle de qualité de son cacao. Avec pour résultats : 70% de cacao de grade 1, le marché de Nestlé à portée de main et l’intérêt de Belvas, producteur belge de chocolat bio et équitable.
Pointés du doigt suite au scandale du travail d’enfants et aux très faibles prix payés aux producteurs, les grandes entreprises du secteur du cacao et du chocolat ont pris des initiatives pour améliorer la durabilité de l’industrie. Qu’en est-il aujourd’hui, surtout après une forte diminution l’an dernier du prix du cacao sur le marché mondial ?
Par ailleurs, en dépit de ces conditions de marché difficiles, des coopératives optent résolument pour une production durable. Vingt d’entre elles bénéficient d’un appui du Trade for Development Centre (TDC). Afin de mettre en lumière leur travail, nous nous sommes rendus non seulement au Ghana et en Côte d’Ivoire, mais aussi en Bolivie et au Vietnam.
Dans des pays comme le Royaume-Uni et les Pays-Bas, la notoriété de l’or équitable est déjà bien implantée, si bien que certaines célébrités ont commencé à s’afficher avec des bijoux équitables. En Belgique, la progression est plus lente : vous ne trouverez que 16 orfèvres et designers de bijoux travaillant avec des matériaux certifiés Fairtrade ou Fairmined.
Plus d’une fois déjà, l’on a annoncé l’exportation de bananes sénégalaises, tant bios qu’équitables, vers la Belgique, mais la route qui mène de Tambacounda aux magasins Colruyt reste semée d’embûches.
Malgré le potentiel des organisations paysannes et l’engagement de différents partenaires – comme le Trade for Development Centre – il n’est pas évident d’assurer qualité et quantité pour un produit complexe comme les bananes.
Lorsque le TDC a développé, il y a plusieurs années de cela, un programme de coaching en marketing à l’intention des coopératives actives dans le commerce équitable ou durable, il s’est régulièrement heurté à leurs connaissances lacunaires en gestion. Ce constat a conduit à une nouvelle série de modules en gestion d’entrepris. Il est temps, aujourd’hui, d’en découvrir les premières expériences acquises en Ouganda, au Rwanda et au Bénin.
Le souhait de ces coopératives est de vendre un maximum de cacao produit par leurs membres, à des conditions aussi favorables que possible. Tout sauf évident.
Le processus de production de la fève de cacao à la tablette de chocolat comporte, la plupart du temps, de nombreuses étapes intermédiaires impliquant quelques grandes sociétés. Cependant, à l’heure actuelle, de plus en plus de chocolatiers du monde entier veulent prendre en charge eux-mêmes l’ensemble du processus.
Trois Belges ouvriront sous peu une chocolaterie aux abords du parc national des Virunga, le plus grand parc naturel d’Afrique. Conservateur de ce domaine reconnu par l’UNESCO, le Prince belge Emmanuel de Merode est l’un des trois investisseurs, conjointement avec le chocolatier belge Dominique Persoone et Dimitri Moreels, propriétaire et directeur de la compagnie d’exportation de cacao Copak.
De nombreuses coopératives et petites entreprises des pays partenaires de la coopération belge au développement actives dans le commerce équitable ou durable ont reçu ces dernières années un soutien du TDC sous la forme d’un soutien financier ou d’un coaching en marketing ou en gestion d’entreprise ou une combinaison des deux. L’objectif est toujours d’augmenter les opportunités de marché des petits producteurs. Certaines de ces coopératives ont noué des relations commerciales avec des entreprises actives en Belgique.
Cette publication donne une vue d’ensemble des résultats obtenus par le TDC entre 2014 et 2017.
Un projet pilote appuyé par le Trade for Development Centre permet à la Coopara de centraliser la fermentation et le contrôle de qualité de son cacao. Avec pour résultats : 70% de cacao de grade 1, le marché de Nestlé à portée de main et l’intérêt de Belvas, producteur belge de chocolat bio et équitable.
Pointés du doigt suite au scandale du travail d’enfants et aux très faibles prix payés aux producteurs, les grandes entreprises du secteur du cacao et du chocolat ont pris des initiatives pour améliorer la durabilité de l’industrie. Qu’en est-il aujourd’hui, surtout après une forte diminution l’an dernier du prix du cacao sur le marché mondial ?
Par ailleurs, en dépit de ces conditions de marché difficiles, des coopératives optent résolument pour une production durable. Vingt d’entre elles bénéficient d’un appui du Trade for Development Centre (TDC). Afin de mettre en lumière leur travail, nous nous sommes rendus non seulement au Ghana et en Côte d’Ivoire, mais aussi en Bolivie et au Vietnam.
Dans des pays comme le Royaume-Uni et les Pays-Bas, la notoriété de l’or équitable est déjà bien implantée, si bien que certaines célébrités ont commencé à s’afficher avec des bijoux équitables. En Belgique, la progression est plus lente : vous ne trouverez que 16 orfèvres et designers de bijoux travaillant avec des matériaux certifiés Fairtrade ou Fairmined.
Plus d’une fois déjà, l’on a annoncé l’exportation de bananes sénégalaises, tant bios qu’équitables, vers la Belgique, mais la route qui mène de Tambacounda aux magasins Colruyt reste semée d’embûches.
Malgré le potentiel des organisations paysannes et l’engagement de différents partenaires – comme le Trade for Development Centre – il n’est pas évident d’assurer qualité et quantité pour un produit complexe comme les bananes.
Lorsque le TDC a développé, il y a plusieurs années de cela, un programme de coaching en marketing à l’intention des coopératives actives dans le commerce équitable ou durable, il s’est régulièrement heurté à leurs connaissances lacunaires en gestion. Ce constat a conduit à une nouvelle série de modules en gestion d’entrepris. Il est temps, aujourd’hui, d’en découvrir les premières expériences acquises en Ouganda, au Rwanda et au Bénin.